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Comment les activités internationales de l’UdeS ont-elles été affectées par la pandémie ?

La pandémie de la COVID-19 a eu une grande incidence sur les étudiantes et les étudiants internationaux, ici à l’UdeS, mais aussi partout dans le monde. Pour certains d’entre eux, la situation s’est avérée particulièrement difficile et a suscité de nombreux questionnements sur ce que l’avenir leur réserve. Différents services d’aide ont été mis à leur disposition pour les soutenir sur les plans psychologique, financier et académique.

Limites à l’entrée au Canada des étudiantes et étudiants étrangers

À la suite des  directives émises par le gouvernement du Canada, il est présentement impossible pour les étudiantes et les étudiants étrangers d’entrer au Canada s’ils ont reçu des approbations de permis d’études après le 18 mars 2020. Toutefois, ceux et celles ayant reçu une approbation de permis d’études avant le 18 mars pourront utiliser l’exemption à la restriction d’entrée et devront se soumettre aux mesures sanitaires imposées actuellement.

La possibilité que les étudiantes et les étudiants internationaux admis et inscrits dans les programmes réguliers, cotutelles et doubles diplômes, qui se trouvent actuellement à l’étranger, puissent entrer au pays à temps pour la session d’automne est variable, mais faible. L’UdeS travaille avec deux scénarios soit : 

  1. le report d’admission à un trimestre ultérieur,
  2. le maintien de l’admission à l’UdeS à l’automne et la mise en place d’encadrement et d’enseignement à distance pour la totalité de la session.

Annulation de la mobilité internationale

L’UdeS a pris la difficile décision d’annuler la mobilité internationale pour le trimestre d’automne, et ce tant pour les étudiantes et étudiants sortants qu’entrants à tous les cycles d’études que pour ceux et celles qui participaient à des stages coopératifs ou de recherche à l’étranger. USherbrooke International a estimé qu’il était important d’informer les étudiantes et étudiants d’une décision finale avant qu’ils ne commencent à planifier concrètement leur départ. Comme la pandémie s’intensifie à des rythmes et à des moments différents à travers le monde, il a été convenu que les risques restent trop élevés pour permettre aux étudiantes et étudiants de voyager cet automne.

Les autres types de mobilité sortante, comme le programme de professeures et professeurs invités pour de l’enseignement ou de la recherche, sont suspendus jusqu’à nouvel ordre, en fait tant que le niveau de risque émis par le Gouvernement du Canada correspond à Évitez tout voyage non essentiel, qui est le niveau actuel pour les déplacements vers tous les pays du monde.

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