Dès 2018 nous avions amorcé une veille sur l’apprentissage expérientiel, un thème central pour de nombreux programmes au sein de notre université. En février 2020, alors que nous mesurions mal ce qui nous pendait littéralement au bout du nez, nous vous annoncions que « [d]ans les mois qui viennent, des membres de la cellule de veille du Service de soutien à la formation [SSF] se pencheront sur ce modèle d’apprentissage universitaire et partageront évidemment leurs découvertes avec vous ». Dix-huit mois plus tard, après que la faisabilité même de l’approche expérientielle ait été remise en question par la crise sanitaire, nous vous présentons une partie des fruits de notre recherche dans un Face et Pile. Plusieurs collègues du SSF y ont participé par des références, des relectures et des suggestions. Qu’ils en soient tous et toutes remerciés.
Comme pour les autres Face et pile, ce feuillet n’a aucune visée prescriptive. Il tente humblement de présenter un état des connaissances généralement admises à ce jour autour de l’apprentissage expérientiel, en montrant «les deux côtés de la médaille». Toujours en février 2020, nous avancions « que la qualité des expériences vécues et de la réflexion qu’elles susciteront seront déterminantes pour s’assurer d’apprentissages riches ». Si la diffusion de ce document permettait quelques pas en ce sens, il aurait démontré toute son utilité.
Bonne lecture!